Dans Virtue and a Sledgehammer, la meilleure thérapie, c’est de tout casser à la masse
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Rédigé par Jordan
À l’approche des Game Awards, on a droit à tout un tas de showcases avec des dizaines de jeux présentés dans un court laps de temps, ce qui n’aide pas à tous les retenir. On s’arrêtera tout de même sur le Day of the Devs qui s’est déroulé hier pour se concentrer sur l’annonce de Virtue and a Sledgehammer, le nouveau titre édité par Devolver Digital, qui est développé par l’équipe de Deconstructeam (Cosmic Wheel Sisterhood) et Selkie Harbour (Many Nights a Whisper).
Des traumas à briser en deux
Lorsque Virtue and a Sledgehammer propose d’affronter notre passé, il veut nous dire de littéralement lui dégommer la tête. Vous serez ici de retour dans votre ville natale que vous n’aimez plus beaucoup, alors que celle-ci est maintenant envahie de fantômes androïdes, qui ne sont autres que vos anciens voisins ayant transféré leur conscience dans des machines.
Votre but, tout casser, aussi bien ces robots que les bâtiments sur votre route, en espérant que cela soit assez cathartique. Malgré les phases où vous défoncerez de la rouille et des briques à grands coups de masse, Virtue and a Sledgehammer se présente surtout comme un jeu narratif qui aborde les thèmes de la famille et le sentiment de ne jamais trouver sa place au sein de cette dernière.
Virtue and a Sledgehammer sera disponible dans le courant de l’année 2026 sur PC.
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