Electronic Arts assure que malgré son rachat, le contrôle créatif ne lui échappera pas

En dehors du fait de voir l’un des éditeurs historiques être racheté pour sortir de la Bourse, ce qui avait de quoi nourrir de nombreux débats, c’est surtout l’identité des acquéreurs qui a fait parler. Entre les sociétés d’investissement proches de Donald Trump (dont un PDG faisant même partie de sa famille) et le PIF, qui est le fonds d’investissement d’Arabie saoudite géré par le prince autoritaire Mohammed ben Salmane, il y a de douter sur le fait qu’EA gardera le contrôle créatif de ses œuvres. Une inquiétude qui se fait entendre, et à laquelle EA veut répondre pour rassurer ses employés.