Project Bloomwalker : Nous avons pu essayer le jeu tout mignon soutenu par Xbox à la Gamescom
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Rédigé par Florian
Mardi 20 août, premier jour à la Gamescom. Au détour d’une visite entre deux rendez-vous Xbox se tenaient-là deux bornes d’un certain Project Bloomwalker, un jeu encore non annoncé au moment de notre découverte, édité par Netmarble (Game of Thrones: Kingsroad) et développé par Netmarble Neo. Un jeu à suivre si l’on aime les aventures cozy.

Manette en main, nous avons appris à diriger le personnage que nous voyons dans le trailer de 5 minutes dévoilé durant le Stream Xbox Gamescom du 20 août, ainsi qu’interagir avec cette caravane mobile, une sorte de représentation d’une maison sûre qui se déplace dans un monde contaminé pour lui redonner ses lettres de noblesse au fur et à mesure de sa pérégrination.
Pas la peine d’avoir la main verte
Le jeu prend place sur une Terre autrefois magnifique partagée entre les humains et des esprits mystérieux. Alors qu’un mystérieux météore s’écrase et ne laisse qu’un site d’impact si pollué qu’aucune vie ne peut survivre, apparaissent les Bloomwalkers, des êtres capables d’utiliser leurs pouvoirs pour restaurer la vie et guérir les zones blessées.
La courte démo démarre par une terrible attaque d’un pélican faisant disparaitre bon nombre des Oddlings qui nous accompagnent. Ce sont de petites bestioles blanches toutes mimi que nous allons devoir protéger et escorter. En échange, celles-ci vont nous aider à prospérer et progresser.
Pour pouvoir avancer, il nous fallait tirer sur des sphères rougeâtres pour dégager le chemin jusqu’à ce que nous puissions libérer notre caravane et la faire avancer. Une fois arrivée sur les lieux où nous souhaitions planter la tente, un travail multiple a alors débute : crafting, récolte et même réconfort de nos petites bêtes, il a fort à faire pour créer nos premiers outils, une hache ou encore un marteau.
Pour cela, nous allons devoir récolter des baies, du bois ou encore de la pierre, puis faire cuire les fruits dans une marmite afin de débloquer une jauge permettant à notre habitat de prospérer, avant de pouvoir construire une station de craft pour accéder aux outils. Notre maison est également accessible via une porte magique de la caravane, mais nous n’avons que très peu vu cette fonctionnalité. Nous y avons toutefois aperçu un joli chat mystérieux qui détient probablement des secrets à débusquer.
Principalement, le jeu s’orientera entre plusieurs piliers : l’exploration de terres inconnues à bord de la caravane, la purification de la nature polluée, la fabrication et la décoration des lieux en rassemblant des ressources et enfin le lien avec les Oddlings entre chaque étape du voyage (que vous devez câliner pour leur donner de l’énergie), le jeu se voulant loin des classiques jeux de survie, avec une mise en avant de la rénovation de la nature et du calme plutôt que du combat brut.
Les développeurs ont certifié que le jeu ne sera pas si linéaire que cela, malgré que ce l’on a pu voir dans la démo, et que nous pourrons prendre des libertés sur les objectifs à réaliser et résoudre des énigmes environnementales par exemple, fonctionnalité que nous n’avons pas vraiment vu encore.
Jusqu’ici, rien de bien original, mais le jeu a une petite patte qui nous permet d’être curieux d’en apprendre plus. Nous avons juste été un peu surpris par la quantité de « câlins » nécessaires aux Oddlings pour bosser convenablement, ce qui aurait tendance à alourdir un peu le concept. Reste à voir si dans la globalité de l’expérience, qui revêt une esthétique particulièrement sympathique avec son développement sous Unreal Engine 5, les mêmes activités ne reviennent pas trop souvent non plus dans Project Bloomwalker, attendu en 2026 sur PC et consoles Xbox au moins.
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