Nos ressentis sur l’année 2016 : L’avis de Play4Fun, Alexandre
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Rédigé par Alexandre Mistral
2016 se termine bientôt et il est donc temps pour moi de faire un retour sur les jeux qui m’ont marqué mais aussi, sur ceux qui m’ont un peu plus déçu. Enfin, on terminera avec les attentes pour 2017 qui commencent sérieusement à me faire frémir d’impatience et s’il y en a bien un dont je veux parler, c’est Final Fantasy VII Remake mais nous y reviendrons. Bref, vous êtes prêts à embarquer dans mon univers riche en jeu de niche ?
Mes jeux préférés de 2016 :
- The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel I et II
… Ou je dirais plutôt, mes jeux préférés. Et bien oui j’attaque logiquement par mon véritable coup de cœur et celui qui m’a permis de redécouvrir ce qu’était un bon J-RPG avec un gameplay agréable, des personnages travaillés et un univers doté d’un scénario qualitatif avec son lot de rebondissements et de surprises. Je parle bien évidemment des The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel I et II qui m’ont procuré un plaisir immense et que je n’hésite jamais à recommencer avec le new game +.
L’époque des Suikoden, Skies Of Arcadia, Persona 3 FES ou encore Final Fantasy VII et ce sont bien les The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel I et II qui sont parvenus à me toucher sur le plan émotionnel, sur le plaisir de jeu et surtout, sur l’envie de découvrir, d’approfondir, de m’intéresser et d’effectuer autant de recherches sur la toile pour découvrir un maximum d’informations. Chose que je continue à faire en attendant un certain The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel III qui viendra boucler la saga.
Mon seul regret dans l’histoire, c’est que le troisième épisode sortira certainement exclusivement sur PS4 et PS Vita et que ma sauvegarde du I et du II est sur PS3 avec un compte PSN différent. Ainsi, je risque de ne pas pouvoir reprendre ma sauvegarde, tant pis pour moi. Je vous conseille en tout cas vivement de vous laisser séduire par mon argumentaire si vous n’êtes pas anglophobes et que vous aimez les bons vieux J-RPG peu avares en matière scénaristique.
Test de The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel, cliquez ICI.
Test de The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel II, cliquez ICI.
- Steins; Gate 0
Cette année, vous le savez, Steins; Gate 0 sortait sur nos PS4 et PS Vita, et je vais vous le dire honnêtement… La licence m’était inconnue pour ce visual novel bien que je connaissais déjà Makise par l’intermédiaire de figurine et je la trouvais vraiment mignonne. Bref, cela étant dit, j’ai donc démarré Steins;Gate premier du nom et enchaîné quasiment trois jours de jeu pour le finir entièrement et faire toutes les fins…
Franchement ? Il faut avoir les nerfs solides, ne pas lâcher de larmes et ni de sourires car les bons moments, c’est du flan haha ! Bref, un ascenseur émotionnel m’a envahi et avec le peu de sommeil pour justement le boucler à 100%, j’ai été franchement abasourdi par cette qualité scénaristique de haute volée qui m’a charmé, touché et que je n’oublierai probablement jamais. Ainsi et sur ces lignes, je vous recommande vivement Steins;Gate avec mon test à cette adresse et laissez-vous charmer si l’anglais ne vous pose pas de problème. Je vous en conjure, laissez-vous porter si vous aimez lire et vous en aurez pour votre argent et bien plus encore !
Cela étant dit, je m’adresse maintenant aux fans de Steins;Gate 0 dont je fais désormais parti et franchement, ce dernier est tout aussi bon que le premier même si l’on commence l’aventure avec un scénario beaucoup plus noir. Forcément, avec la fin choisie par les développeurs pour commencer cette nouvelle aventure, comment ne pas être directement touché et troublé ? En tout cas, notre cher Rintarō Okabe et franchement, il est psychologiquement très fort car il faut avouer qu’il faut être solide pour supporter tout cela et avec la qualité des lignes de dialogues, des différents art works et de cet univers scientifique qui est posé, nous sommes directement touchés par tout ce qu’il se passe. En plus, les compositions musicales sont toutes propres au thème de la science et des voyages temporels et elles collent parfaitement à cet univers et bien évidemment, elle contribue énormément au transfert d’émotion… c’est un tout avec l’identité graphique générale et l’ensemble fonctionne à la perfection. La recette Steins;Gate, c’est clairement un résultat divin pour ceux qui l’essayent.
Je terminerai mon paragraphe sur l’univers de Steins; Gate par :
El Psy Kongroo, Steins;Gate, Organization…
Les connaisseurs comprendront et je suis heureux d’avoir pu tomber dans cet univers grâce à Actu Gaming et bien évidemment, j’espère tous vous emporter avec moi dans cet océan d’émotion qui donne un sacré coup à nos esprits.
PS : Evidemment que j’ai choisi une photo de Kurisu Makise alias Christina, elle est trop mimi et oui, je l’adore !
PS2 : Vous savez que cette histoire m’a également fait acheté l’intégralité des animes et des films existants sur la série… C’est ce que l’on appelle un coup de cœur oui !
Test de Steins;Gate, cliquez ICI
Test de Steins;Gate 0, cliquez ICI
- Langrisser Re:Incarnation -Tensei
Troisième coup de cœur de 2016, le J-RPG tactique Langrisser Re:Incarnation -Tensei et là, je vous vois venir… Pourquoi pas Fire Emblem Fates ? Oh oui que je l’ai aimé celui-là mais je vous avoue que s’il y a un jeu pour lequel j’ai vraiment un coup de cœur, c’est bien Langrisser et ce, malgré son 6/10 et ses défauts justifiés et impardonnables qui vont avec…
Tout d’abord, sachez que la licence Langrisser est très populaire au Japon et qu’elle existe depuis la Megadrive et plus précisément depuis 1991. Langrisser Re:Incarnation -Tensei, c’est un peu le dernier opus qui a réussi à nous parvenir par l’intermédiaire du Nintendo eShop Européen de la 3DS et qui, comme vous vous en doutez, n’est pas traduit dans la langue de Molière mais qu’à cela ne tienne, on se débrouille en anglais !
Bref, contrairement à monsieur Fire Emblem Fates, Langrisser Re:Incarnation -Tensei propose lui aussi trois scénarios mais en un seul et unique jeu et il dépend de vos choix. Effectivement, vous pourrez rejoindre l’armée des ténèbres, celle de la lumière ou alors, une faction ne servant ni de l’un, ni de l’autre. Notre héros est l’élu choisi par l’épée de Langrisser et il se crée sa propre destinée selon vos choix. Avouons-le, sur le papier, on dirait presque le scénario de Fire Emblem Fates sauf que là, cela tient en une cartouche et qu’il a vraisemblablement été inventé avant haha.
Cela étant dit, les batailles tactiques sont dotées d’animations avec des armées de Chibi de part et d’autre qui s’affrontent. J’ai trouvé ça adorable et le chara-design d’absolument tous les camps m’a tout simplement charmé et pour vous dire… (ne me tapez pas) mais je le préfère largement à FE Fates… Voilà, c’est dit, l’univers, les personnages et le scénario de Langrisser Re:Incarnation -Tensei m’ont vraiment accroché et je le préfère sur tous ces points-là seulement, il y a quelques petits… gros… voire GRANDS mais qui posent problèmes et qui l’empêchent de briller de mille feux.
Et bien oui, si on retire le problème de l’anglais, le jeu est assez pauvre graphiquement et on ressent un énorme manque de budget et on peut remercier le chara-designer qui a su concevoir d’excellents personnages qui font vivre le jeu. A côté de cela, l’IA est parfois à la ramasse, les cartes sont tout bonnement GÉANTES, on ne peut pas acheter de l’équipement en sachant s’il améliorera un personnage ou non et lorsque l’on change de classe et il est doté de diverses maladresses…
Mais à côté de ça, on a les compositions musicales signées Noriyuki Iwadare qui viennent remonter l’ensemble et tous les éléments cités plus haut pour une durée de vie qui peut s’étendre jusqu’à 100 heures de jeu. Alors oui, Fire Emblem Fates est bien meilleur sur tous les points mais Langrisser Re:Incarnation -Tensei, lui, avec ses imperfections, il a réussi à charmer mon p’tit cœur… Après comme on dit et je le mets bien en citation rouge car ça correspond à mon état d’esprit sur ce J-RPG tactique :
Le point sur l’année 2016 pour les bonnes choses :
C’est sur ces bonnes paroles que je termine mes jeux préférés. Bon, vous vous en doutez, il y aussi eu Final Fantasy XV (test), WRC 6 (test) qui m’ont admirablement bien surpris avec d’excellentes sensations, World Of Final Fantasy (test), Atelier Sophie (test) ou encore, Tokyo Twilight Ghost Hunters: Daybreak Special Gigs (test) et sa sorte de version améliorée qui corrige tous les défauts que je trouvais au jeu d’origine et qui m’a encore émerveillé au niveau du scénario… Bref, une belle année 2016 et j’en oubliais presque Fairy Fencer Advent Dark Force (test), un véritable must-have du J-RPG qui est tout bonnement génial en tout point !
Mes déceptions de 2016 :
- MegaTagmension Blanc + Neptune vs Zombies
Première déception qui me fait mal au cœur tant j’adore l’univers de Neptunia, c’est MegaTagmension Blanc + Neptune vs Zombies sur PS Vita et PC. Effectivement, ce dernier tentait une variation en action J-RPG/hack and slash à l’image de Hyperdimension Neptunia U mais avec une formule qui m’a fortement déçu. Effectivement, si le genre se veut répétitif, forcément, j’ai été fortement attristé du nombre de personnages manquants…
En effet, la licence Neptunia est connue pour son nombre de visages familiers et compter seulement 14 personnages jouables (28 avec les transformations), cela fait franchement léger pour un jeu du genre qui doit nous offrir du contenu par l’intermédiaire de fan service et donc, en nous rajoutant nos protagonistes préférés. Cela étant dit et malheureusement, même le fan service en lui-même avec les éléments à débloquer est vraiment faible et cela pousse forcément le jeu dans le sens d’une durée de vie faible.
Pourtant, le scénario mettant Blanc en avant qui devient réalisatrice d’un film de zombie était pourtant sympathique… On enchaînait les missions à la recherche du rang S et même le multijoueur était franchement une bonne idée pour redonner un second souffle au jeu. Bon rassurez-vous, on retrouve l’humour omniprésent, les musiques de la licence et de quoi faire au niveau des missions mais on restera en éternelle quête de véritables récompenses… Dommage donc.
Test de Neptunia, c’est MegaTagmension Blanc + Neptune vs Zombies, cliquez ICI
- Aegis of Earth : Protonovus Assault
De type Tower Defense à la japonaise, Aegis of Earth : Protonovus Assault m’a énormément séduit sur le papier et très franchement, il vaut le coup mais sur le long terme et à l’usure, on se rend compte des limitations de gameplay qu’il propose et ça, c’est dommage. Mais présentons-le un peu d’abord.
Dans ce jeu, la Terre est attaquée par des monstres terrifiants et votre but est de protéger votre planète et plus précisément, votre ville ! Ainsi, vous pourrez gérer la ville, son armement et vos officiers pendant les temps morts et lorsqu’une attaque débute, vous devrez repousser les vagues d’Aliens en temps réel en faisant bouger votre ville dans tous les sens un peu à la manière d’un Rubik’s Cube. Là, expliqué comme cela, c’est assez dur à comprendre et je vous conseillerais d’aller lire le test avec le lien indiqué un peu plus loin.
Bref, en tout cas, le gameplay est sacrément bien huilé et addictif bien que quelque peu répétitif et c’est là que le problème se pose… Effectivement, si votre coup spécial alias le canon USW vient ajouter une touche FPS de quelques secondes à chaque utilisation, il faut reconnaître que le contenu ne répond pas à la demande et que l’on aurait aimé un panel de monstres plus large, des bâtiments et de l’armement plus variés et bien d’autres choses encore… On tourne vite en rond et c’est l’expression qui colle le mieux à ce sujet puisque lors des phases de guerre, vous faites réellement bouger votre ville en rond.
Et oui, c’est vraiment dommage que Aegis of Earth : Protonovus Assault manque ce coche là car il avait tout : un gameplay passionnant, des personnages qui auraient pu se trouver aisément dans un J-RPG avec des chara-design pas si mauvais, des animations vraiment réussies et le fait de pouvoir gérer plusieurs villes. Malheureusement, le contenu aura eu raison de lui… Néanmoins, il n’est pas mauvais en soi mais sur le long terme, on aura tendance à le lâcher par manque de renouvellement pour l’armement et tout ce qui va avec…
Test de Aegis of Earth : Protonovus Assault, cliquez ICI
- Star Ocean 5 : Integrity and Faithlessness
Star Ocean 5 : Integrity and Faithlessness est sorti en cette année 2016 et il faisait partie des jeux que j’attendais le plus et les aventures de Fidel Camuze et ses amis, bien que sympathiques, n’étaient pas à la hauteur d’un Star Ocean classique. Effectivement, le premier problème vient du fait que l’on explore une seule planète ! Pour rappel, la licence Star Ocean est basée sur la science fiction et sur les humains qui cherchent à coloniser plus ou moins une nouvelle planète habitable.
Même si on ne le fait pas au sens propre du terme dans les anciens opus, on en visite toujours plus de deux et ce cinquième épisode met un terme à ce facteur pour notre plus grand regret. En plus de cela, on se retrouve en face d’un J-RPG qui se clôture extrêmement vite en ligne droite même si le scénario et les personnages restent intéressants à mon sens… D’ailleurs, j’ai franchement adoré le chara-design de cet opus et les personnages qu’ils ont voulu créer et cela m’a énormément attristé de voir que le jeu est rempli de bonnes intentions mais que quelque chose n’a pas suivi…
Effectivement, la caméra est hasardeuse, les combats sont parfois brouillons et le fait de finir rapidement le jeu en ligne droite est vraiment frustrant. Pourtant, Star Ocean est intégralement en français, il est tout de même assez joli bien que l’on puisse faire mieux et il propose un gameplay qui est quand même sacrément fun et addictif. Ces points là m’ont charmé et j’ai craqué pour l’édition collector sans réfléchir !
Au final, j’ai l’impression que Star Ocean 5, c’est l’équivalent d’un Final Fantasy XV s’il était sorti quelques années plus tôt… Ainsi, je soupçonne fortement les développeurs de chez Tri-Ace d’avoir eu une enveloppe ridicule en terme de budget et surtout, un temps de développement bien trop court et ce, très probablement pour rentabiliser rapidement le jeu. C’est vraiment dommage de voir une licence avec de telles ambitions et possibilités finir comme ça… Pourtant et je vous l’avoue, si vous accrochez à Star Ocean 5 et que vous faites abstraction de son nom et de l’univers que la licence s’est créé, vous passerez un sacré bon moment sur ce jeu !
Il ne faut pas oublier qu’il fait partie des rares J-RPG à débarquer chez nous en français et rien que ça, c’est tout de même une belle preuve d’attention des développeurs à notre égard. En plus, Star Ocean 5 est loin d’être dégueu et on ressent vraiment beaucoup de bonnes volontés mais comme je le disais, à mon sens, ces dernières ont été renvoyées d’un coup de vent avec un budget et un temps imposés de développement qui n’étaient clairement pas adaptés.
De quoi donner les larmes aux yeux des développeurs pendant qu’un certain Final Fantasy XV, lui, a eu droit à un très long temps de développement et SE a très certainement dit plus facilement oui aux demandes de l’équipe d’Hajime Tabata que celle qui s’occupait de Star Ocean… Et en même temps, FF XV avait pour vocation de séduire l’Europe et rien qu’avec le nom et la campagne marketing à laquelle il a eu droit, il faut croire qu’il ne restait plus beaucoup de yen pour le développement de notre pauvre Star Ocean 5… Maintenant, on va devoir se contenter de Star Ocean Anamnesis (article) pour le futur de la licence, un jeu mobile, wow, super, j’en rêvais… Excusez le ton sarcastique haha.
En tout cas, je me souviendrai de Star Ocean 5 : Integrity and Faithlessness comme d’un très bon J-RPG et non comme un Star Ocean… et je pense qu’il peut plaire à beaucoup de monde et leur faire passer un excellent moment. Il suffit juste de faire l’impasse sur ses origines ou d’être un peu plus tolérant envers un titre qui a été, pour moi, sous-estimé par Square Enix au niveau de son potentiel et qui n’a pas su faire confiance à son équipe de développement.
Test de Star Ocean 5 : Integrity and Faithlessness, cliquez ICI
Le point sur l’année 2016 pour les mauvaises choses :
A part ces jeux là, mes déceptions vont plus se porter sur quelques jeux à l’images d’Anima: Gate of Memories (test) qui m’a déçu dans le sens où j’en attendais peut-être trop ? Enfin, vous comprendrez certainement mieux pourquoi dans ma critique car je vous avoue que l’univers m’a énormément charmé ainsi que son principe et j’en suis ressorti avec pas mal de frustration…
Il y a aussi eu le jeu de combat Nitroplus Blasterz: Heroines Infinite Duel (test) faisant intervenir quelques personnages d’anime avec un gameplay trop simpliste à mon goût et un aspect fan service délaissé avec rien à débloquer… Quel dommage ! Et enfin, peut-être également MeiQ: Labyrinth of Death (test) en qui je plaçais de grands espoirs mais qui ne parvient pas à égaler un Demon Gaze malgré un système de filles sexy couplé à des mechas… C’était vraiment bien pensé pourtant.
Mes attentes pour 2017 :
Dernier sujet et on va faire cela rapidement puisque mes réelles attentes ne sont pas forcément nombreuses. Comme évoqué en début d’article, j’attends Final Fantasy VII Remake et son premier épisode ! Effectivement, cela fait des mois que j’hypothèse dans tous les sens et j’ai déjà eu le temps de réaliser trois dossiers au fil des mois ! Des informations étaient correctes et d’autres ne l’étaient carrément pas mais si cela vous intéresse que l’on partage entre fans, le dossier numéro un est ici, le second là et enfin le troisième à cette adresse.
Bref, j’ai laisse libre cours à mon imagination tout en me basant sur les informations que l’on avait au fil du temps et j’espère être proche de la réalité… Enfin, quoi qu’il en soit, la seule chose qui importe, c’est que les équipes de Square nous livrent un Final Fantasy VII Remake comme l’on pourrait en rêver… C’est tout ce que je demande.
Deuxième attente, comme l’année dernière, le fameux Danganronpa V3 qui sera en plus, traduit intégralement en français (expliqué ici). Je vais être franc avec vous, le point qui me chagrine le plus, c’est le fait que l’on oublie le chapitre de la Hope’s Peak Academy pour laisser libre cours à une toute nouvelle intrigue. Néanmoins, on garde les principales bases de gameplay et j’ai envie de dire, c’est déjà ça non ? A noter tout de même qu’un mode bonus sera dispo et qu’il fera intervenir tous les personnages des anciens Danganronpa et ça, j’ai hâte de le découvrir (article) !
Après Persona 3 FES et Persona 4 ainsi que l’épisode Spin-off Persona 4 Dancing All Night (test), il est clair que j’attends Persona 5 et au fil du temps, les informations à son sujet sont de plus en plus prometteuses… Je vous avoue avoir moins apprécié le chara-design, enfin cela dépend des persos, mais après tout, pourquoi pas et dans tous les cas, je ne me laisserai pas influencer. J’ai hâte de plonger dedans et de voir si l’univers de ce J-RPG saura complètement me charmer au point de me faire aimer la coupe de cheveux de notre nouveau héros haha. J’avoue, je préférais le protagoniste principal de Persona 3 qui respirait la classe et puis, c’est aussi l’épisode sur lequel j’ai passé le plus clair de mon temps, ça ne s’oublie pas comme ça !
Pour les plus grosses attentes, c’est à peu près tout bien que j’attends de voir le véritable potentiel de la VR réalité virtuelle l’année prochain. Effectivement, je n’en parle pas dans mon ressenti car malgré plusieurs expériences, aucun jeu ne me correspond pour le moment… Bref, mettez moi l’année prochaine un Sword Art Online en VR et là, on sera dans ma cam haha. Enfin, une chose est sûre, 2016 aura été un excellent cru pour le J-RPG et j’ai pu découvrir quelques licences qui valent clairement le détour et j’espère vous avoir séduis afin que vous aussi, vous puissiez profiter de ce que j’ai aimé ! Sur ce, bonne année 2017 par avance et on se retrouve très vite…
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