Activision : Selon le Wall Street Journal, Bobby Kotick ne sera plus CEO lorsque le deal avec Microsoft sera terminé
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Rédigé par Jordan
L’affaire de la journée, et probablement de l’année, c’est le rachat d’Activision-Blizzard par Microsoft. Vous l’aurez compris, un tel deal est historique dans l’histoire de l’industrie, étant donné qu’il s’agit du plus couteux. Parmi les questions qui restent encore en suspens, on a bien entendu celle concernant l’exclusivité ou non des jeux des jeux à venir chez l’éditeur, mais aussi celle concernant le statut de Bobby Kotick, le CEO d’Activision-Blizzard qui traîne une ribambelle de casseroles derrière lui. Tout est encore flou concernant son avenir, mais le Wall Street Journal vient éclaircir tout cela.
Une sortie en douceur, certainement pavée d’or
https://twitter.com/Nibellion/status/1483497794308558853
Lorsque l’on a appris le rachat, Phil Spencer a déclaré que Bobby Kotick allait rester CEO d’Activision-Blizzard, du moins jusqu’à ce que le deal se concrétise, d’ici juin 2023. Après cela, on en savait pas plus.
Le Wall Street Journal confirme cependant que selon ses sources proches du dossier, une fois le rachat terminé, Bobby Kotick devrait quitter l’entreprise :
« Bobby Kotick, le CEO d’Activision depuis de nombreuses années, devrait quitter l’entreprise une fois le deal terminé, selon des personnes proches du dossier. Microsoft a dit lors de son annonce mardi que Mr. Kotick « allait continuer à servir de CEA pour Activision-Blizzard », et qu’une fois le deal terminé « Activision répondrait aux ordres de Phil Spencer ». Mais les deux entreprises se sont mises d’accord pour qu’il parte une fois que le deal sera terminé. »
Si l’info reste encore à confirmer, cela veut donc dire que Bobby Kotick va enfin quitter Activision-Blizzard en 2023 (et quelque part, ça se fête). Avec ce que l’on imagine être un immense parachute doré qui se chiffre en centaines de millions, certes, mais on va essayer de voir le verre à moitié plein et se dire que que les employés du groupe s’en sortiront sans doute bien mieux sans lui.
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