Le réalisateur de Star Wars 8 réagit aux critiques sur Twitter
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Rédigé par Albert

A l’heure des réseaux sociaux, il est devenu commun d’interpeller un acteur, un scénariste ou un réalisateur pour lui adresser ses critiques et remarques sur sa dernière oeuvre en date. Avec Star Wars 8, c’est un océan de critiques qui se sont déversées sur Rian Johnson pour sa gestion notamment de Luke, Leia, Poe et de l’arc de Finn et Rose. Le film a divisé et une grande partie des « vrais fans » ont critiqué l’approche de la Force de Rian Johnson, la jugeant trop loin de l’univers.
Attention Spoiler
Un passage très critiqué a été la projection astrale de Luke lors de son combat contre Kylo Ren, passage qui a été justifié en quelques tweets par le réalisateur :
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398041598918656
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398119185256449
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398199694770176
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398249346936833
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398324760563712
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398403986731008
https://twitter.com/rianjohnson/status/954398483112275969
Le réalisateur a également répondu sur le passage de « Marie Poppins Leia » en rappelant qu’il n’y a aucune force dans l’espace et donc aucune résistance, son usage de la force s’en retrouve donc minime :
https://twitter.com/rianjohnson/status/954449841957957632
Tout en admettant que si l’on n’adhère pas au visuel de la scène, ce qui se déroule peut être mal compris.
https://twitter.com/rianjohnson/status/954452380929605632
Si plusieurs personnes ont avoué avoir critiqué à tort des passages qui ont été visiblement réfléchis, le film n’en reste cependant pas exempt de défauts et il appartient à chacun de se faire sa propre opinion sur ce huitième opus qui aura plus que jamais divisé les fans. Au final, la vraie question ici est de savoir si les réseaux sociaux n’influencent pas le cinéma d’une façon négative en permettant de rajouter des éléments à posteriori comme le faisait J.K Rowling avec Harry Potter en 2015 ou en enlevant le travail de recherche et d’interprétation en allant se « plaindre » au réalisateur lorsque quelque chose nous déplaît ou est au-dessus de notre compréhension. Question complexe mais qui mérite d’être posée.
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