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Accueil > Tests > Test DOOM: The Dark Ages – Plus sombre, plus brutal, mais moins marquant

Test DOOM: The Dark Ages – Plus sombre, plus brutal, mais moins marquant

Publié le : 9 mai 2025 à 16:00

Par : Mathieu Corso

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Mathieu Corso

9 mai 2025 à 16:00

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8.5

DOOM: The Dark Ages a la lourde tâche de succéder à l’excellentissime DOOM Eternal, qui est à ce jour l’un des meilleurs jeux de la franchise. Ici, le titre de id Software nous emmène dans une esthétique un peu plus Dark Fantasy, et se déroule bien avant les deux précédents volets. On y retrouve notre Slayer dans une aventure toujours plus brutale et avec une formule diamétralement différente d’un DOOM Eternal. Par contre, ce n’est hélas pas pour autant que ce nouvel opus arrive au même niveau que son prédécesseur.

Conditions de test : Nous avons bouclé les 22 chapitres de DOOM: The Dark Ages en 15 heures de jeu dans sa difficulté Fais-moi mal, soit le second niveau de difficulté sur les six disponibles – qui sont eux même modulables -. Le titre a été testé sur PC avec 32Go de Ram, une RTX 3070 et une i5 12-400 (2.50 Ghz). Le test est garanti sans spoilers majeurs. 

Sommaire

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  • Une épopée Dark Fantasy loin d’être déplaisante
  • Le bestialité dynamique
  • Dans la lignée de DOOM Eternal, avec des subtilités
  • Graphismes et bande-son, un chouïa moins marquant…

Une épopée Dark Fantasy loin d’être déplaisante

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Même si ce n’est toujours pas l’un des éléments que l’on regarde en premier sur un jeu estampillé DOOM, il faut dire que l’histoire et le lore de DOOM: The Dark Ages sont franchement attirants. Le soft nous propulse bien avant les deux précédents volets, afin de nous plonger dans un univers médiéval et Dark Fantasy. Ce préquel nous fait incarner à nouveau le DOOM Slayer, littéralement utilisé comme une arme par les Maykr dans le but de lutter contre les légions de l’enfer qui débarquent à Argent D’Nur. Sous la houlette du prince démoniaque Azhrak, les monstres sont venus récupérer des mains des Sentinelles un cœur d’argent, contenant un pouvoir immense qui pourrait bien leur permettre de régner sur ce monde.

Contrairement à DOOM Eternal, ce nouvel opus se la joue un peu plus cinématographique, et il faut dire que la mise en scène dans les cinématiques est clairement soignée. Si la narration ne sera pas non plus sa plus grande force, DOOM: The Dark Ages dispose une nouvelle fois, d’un lore des plus accrocheurs. Outre la plupart des personnages présentés qui demeurent anecdotiques et peu intéressants, il faut dire qu’il est plaisant de découvrir un background plus approfondi, et d’en savoir un peu plus sur l’origine de la colère du DOOM Slayer.

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Cependant, on ne pourra s’empêcher de rester parfois en dehors de certaines scènes qui ne sont pas aussi impactantes que chez DOOM Eternal. Rassurez-vous cependant, il y en a certaines qui ne nous laissent clairement pas insensibles, et qui pourraient bien vous surprendre. Par contre, le final nous laisse hélas sur notre faim. Bien que le combat final reste palpitant dans l’ensemble, pas mal de zones d’ombre restent encore à éclaircir. Ce qui se fera probablement en DLC.

On ressort malgré tout mitigé de sa trame qui pouvait faire mieux en matière de rythme, bien que nous sommes clairement charmés par toute l’esthétique Dark Fantasy et médiéval du soft. Le ton est plus sombre dans sa direction artistique, mais les décors parviennent à se diversifier. On passe de la cité des sentinelles à une forêt sombre, voire même l’enfer. La plupart des environnements arrivent finalement à se renouveler, et il faut dire que le pari d’id Software d’en faire un opus plus sombre est réussi.

Le bestialité dynamique

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Contrairement à DOOM Eternal qui prônait l’esquive et le mouvement pour espérer survivre aux affrontements, DOOM: The Dark Ages opte pour un gameplay plus terre à terre. Autrement dit, oubliez le système de dash et d’esquive du précédent volet, car ici il va falloir littéralement aller dans la mêlée et surtout user et abuser de votre bouclier tronçonneuse. Car oui, le bébé de id Software sera centré sur les parades avec votre bouclier et surtout les contres, qui vont étourdir les ennemis un moment. D’ailleurs, il faudra toujours rester attentif aux attaques des démons avec d’un côté des projectiles verdâtres que l’on peut parader et renvoyer, et de l’autre les orangés dont il est seulement possible de se protéger en levant son bouclier. Il s’agit d’un gameplay déroutant au premier abord, étant donné que l’on retrouve ici un Slayer à la puissance brut, comme si nous contrôlions un tank qui détruit tout sur son passage.

Le feeling peut paraitre lourd au début, mais nous retrouvons quand même ce côté nerveux déjà présent dans DOOM Eternal. En effet, en plus du bouclier tronçonneuse permettant de charger nos ennemis voire de les découper en morceaux lorsque projeté en avant, le corps à corps sera aussi un élément central. Comme dans le précédent volet de la franchise, le corps à corps octroie des munition ou, en fonction de ce que vous avez débloqué en compétences pour l’une de vos trois armes de corps à corps (gantelet, fléau ou Sépulcrale), de l’armure en plus. Bien entendu, le corps à corps sera limité, et il faudra attendre que la jauge dédiée se recharge automatiquement (idem pour le bouclier quand on charge), ou bien trouver des icones de gantelet afin de pouvoir réutiliser plus vite cette mécanique.

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Rien qu’avec le corps à corps et le bouclier, DOOM: The Dark Ages se révèle tout aussi jouissif que son prédécesseur, nous montrant qu’en changeant l’approche stratégique du gameplay, la formule fonctionne tout autant. Loin du côté épuisant de DOOM Eternal, le nouvel opus d’id Software demande cependant de réfléchir un minimum avant d’aborder chaque affrontement, d’autant que la moindre faute d’inattention peut vous être directement fatale. En somme, foncer dans le tas sera le mot d’ordre, à condition de préparer ses actions à l’avance. Cette approche neuve est clairement grisante. Sachez par ailleurs qu’il y a toujours le système de sceau de vie, limité à trois, vous ressuscitant si vous mourrez. La seule petite ombre au tableau résidera sur la lisibilité de l’action qui peut paraitre quelquefois confuse quand il y a trop de choses à afficher, mais rien de bien méchant cependant.

Côté pétoires, le titre vise à faire plaisir, car il y en a pour tous les goûts. En progressant dans le jeu, vous obtiendrez effectivement diverses pétoires. Et si nous retrouvons les basiques shotgun, super shotgun voire les armes énergétiques de ses ainés, d’autres viennent se joindre à la fête. On pense notamment à l’embrocheur qui fait son effet, ou encore le revanchard et le concasseur, assez atypiques dans leur design. L’arsenal du Slayer est fourni, et on apprécie de pouvoir switcher d’armes de la même classe via une simple touche, via la roue des armes ou en jeu. Qui plus est, on notera la présence d’une arme similaire au BFG voire l’épée démoniaque de DOOM Eternal, qui aura des munitions limitées et qui détruira tout sur son passage. Le gameplay est aux petits oignons avec quasiment une attaque par touche, rendant l’ensemble des affrontements fluides et stylés.

Même dans les modes difficulté, le préquel a pensé aux joueurs. Bien qu’il y ait d’office six niveaux de difficulté (Slayer en herbe, Fais-moi mal, Ultraviolence, Cauchemar, Pandémonium, Ultracauchemar), il faut souligner le côté personnalisable de ces derniers. Il est possible de moduler la fenêtre de parade, le nombre de trésors à trouver voire les potions de soin ou armures et munitions, voire l’agressivité et les dégâts effectués par les démons. Le soft propose une difficulté à la carte qui permettra à chacun de jouer comme il l’entend.

Dans la lignée de DOOM Eternal, avec des subtilités

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Avant d’aborder la progression, il faut savoir que le jeu introduit deux nouvelles phases spécifiques, soit à dos de dragon ou à bord d’un robot géant. Dans le premier cas vous pouvez, avec votre créature, tirer avec une tourelle sur son dos, mais également verrouiller vos cibles quand il s’agit de détruire des tourelles. Il sera possible d’activer des tirs chargés en esquivant les attaques vertes, comme sur les phases à pieds, et ainsi faire un maximum de dégâts. Ces séquences changent un peu la routine et restent bienvenues, malgré quelques imprécisions agaçantes dans la manipulation de notre dragon. Il y a cependant une sensation de vitesse très sympathique en mode boost, mais il faut souligner qu’un temps d’adaptation sera nécessaire pour s’habituer à la maniabilité de la bestiole.

Viennent ensuite les phases en mécha. Des passages peu nombreux mais qui permettent d’enrichir le gameplay déjà assez touffu du jeu. Les combats se font quasiment à mains nues, et vous devez spammer la touche d’attaque afin d’enchainer les combos, ou esquiver les attaques ennemies quand elles virent au vert. Une fois que vous avez chargé une jauge en enchainant les démons géants, vous êtes autorisé à déclencher une grosse attaque, et à effectuer des exécutions. Il faut néanmoins noter des glory kills beaucoup moins impressionnants que sur Eternal. En dehors de ça, ces phases en mécha apportent un peu de fraicheur, et tuer du démon taille XXL est jubilatoire.

Côté progression, DOOM: The Dark Ages se calque sans trop de surprise sur le modèle de DOOM Eternal. Pour faire simple, le titre est découpé en chapitres, et la seule différence réside dans la taille des niveaux, qui sont semi-ouverts. Autrement dit, attendez-vous à devoir parcourir les niveaux en dézinguant des démons, tout en vadrouillant à la recherche d’or, de rubis ou de pierre d’esprit pour améliorer vos pétoires, attaques au corps à corps ou bouclier. D’autres secrets seront de la partie, ainsi que des codex pour en apprendre plus sur le lore.

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Vous l’aurez compris, la production de id Software met l’accent sur des niveaux immenses à l’exploration non-linéaire, avec toutefois le retour des clés de couleur à dénicher, et même souvent des clés secrètes pour accéder à des lieux cachés. Force est de constater que le level-design est globalement bien agencé avec beaucoup de verticalité, quelques mini puzzles à résoudre qui varient les plaisirs. La lisibilité est au passage plus digeste que sur Eternal et ses phases de plateformes peu enthousiasmantes. L’expérience de jeu est cependant bien conservée, et pas tant diluée que ça dans le fond. Les objectifs de missions sont par contre un poil répétitifs, mais on finit vite par passer outre tant le titre maitrise son sujet.

Autres subtilités de gameplay, les combats de boss sont plutôt organiques et permettent d’améliorer son Slayer en augmentant sa jauge de vie, d’armure, ou d’obtenir de nouveaux types de munitions. S’il y a bel et bien des boss traditionnels à affronter avec une mécanique d’étourdissement en remplissant une jauge ce qui peut vous permettre de déclencher une exécution standard faisant un peu de dégâts, des mini-boss font leur apparition. Prenant la forme de capitaines démons à affronter, vous devrez d’abord saper leur moral pour enfin les combattre en dérouillant les vagues de démons qui arrivent à vos pieds.

Une fois que la jauge de moral est à zéro, le bouclier du capitaine démon et désactivé et vous pouvez le combattre. Ce dernier vous donnera par la suite une amélioration au niveau de l’armure, de la santé ou des munitions. Cette feature d’upgrade est globalement bien pensée. On pourra pinailler sur le côté répétitif de la chose, mais la manière d’aborder les affrontements se renouvelle sans cesse.

Pour terminer avec les améliorations, celles-ci vous demanderont de l’or, des rubis ou des pierres d’esprit à dénicher dans les niveaux. Vous pourrez obtenir des compétences supplémentaires, comme des munitions incendiaires pour le shotgun qui vous rendent de l’armure, par exemple. L’ensemble est classique mais fonctionne plutôt bien à terme, même s’il subsiste un petit problème d’équilibrage au niveau du super shotgun, absolument inarrêtable une fois amélioré à fond. Notez que des runes pourront aussi être débloquées pour votre bouclier au cours de votre progression. Ce que l’on regrettera, malgré les compétences passives très sympathiques qu’offrent ces runes une fois que vous paradez avec votre bouclier (une tourelle qui s’active et dézingue tout sur son passage un court instant par exemple), c’est qu’elles ne s’obtiennent qu’automatiquement, sans que l’on ait la possibilité de les trouver par nous-même en fouillant les environs. Bien évidemment, ceci n’enlève en rien l’aspect exploration non linéaire déjà louangé. Notez enfin que le titre peut se finir en 15h, voire beaucoup plus si vous prenez le temps de tout récupérer en collectables.

Graphismes et bande-son, un chouïa moins marquant…

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Nous avons déjà abordé le côté très sombre de DOOM: The Dark Ages, mais pas ses graphismes qui soufflent le chaud et le froid. Bien que le titre arrive à afficher avec une fluidité exemplaire toute l’action à l’écran, mais aussi pas mal d’arrière-plans dynamiques qui font leur effet, il faut bien avouer que l’id Tech 8 de id Software commence à accuser le coup. Le moteur graphique est capable d’afficher des environnements diablement jolis, comme des modèles 3D qui manquent un poil de finesse. Mais dans l’ensemble, en dépit de son inégalité et de quelques bugs de collision qui peuvent faire rager, le soft reste beau. Même le chara design repensé pour les créatures leur donne un certain cachet, comme les Maykr et leur design atypique qui passe toujours bien.

On termine avec une note plus contrastée, côté bande-son. En dehors de doublages français vraiment très bons, vous n’êtespeut-être pas sans savoir que ce n’est plus Mick Gordon qui s’occupe de la soundtrack du titre. En effet, c’est cette fois-ci l’équipe de production Finishing Move, à l’origine des OST de Halo Wars 2 et Borderlands 3 qui s’occupe de la musique de ce préquel.

Et pour le résultat, bien qu’il y ait des musiques qui rythment parfaitement les combats frénétiques et brutaux du soft tout en retranscrivant presque parfaitement l’ambiance tribale/bestiale du Slayer, nous sommes loin de la folie qu’avait proposé Mick Gordon sur les deux précédents volets. C’est une note très mitigée qui nous fait mal, même si nous sentons tous les efforts de Finishing Moves pour rester dans les cordes des deux précédents opus. En somme, le résultat est bon, mais loin d’être aussi marquant que sur un DOOM Eternal.

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DOOM: The Dark Ages
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Date de sortie : 15/05/2025

  • Une bande-son dans le ton du jeu...
  • Vraiment joli techniquement...
  • Les phases en dragon et en mechas...
  • L'esthétique Dark Fantasy fait son charme
  • Gameplay plus terre à terre, bestial et surtout jouissif
  • L'utilisation du bouclier pour les contres
  • Une construction des niveaux semi-ouverts maitrisée
  • Durée de vie conséquente
  • Les combats de boss organiques, avec l'amélioration du Slayer
  • Un système d'upgrade de l'équipement classique mais efficace
  • ... moins marquante (Mick Gordon nous manque)
  • .. tout en restant parfois inégal
  • ... avec un bémol sur celles en dragon, un poil redondantes
  • Quelques bugs ça et là
  • Une lisibilité quelquefois confuse dans les affrontements
8.5

Bien que légèrement moins marquant que DOOM Eternal, DOOM: The Dark Ages est sans nul doute l’un des meilleurs FPS de cette année 2025. En conservant quelques mécaniques du précédent opus, tout en ajoutant des nouveautés qui obligent les joueurs à revoir un peu leur façon de jouer et en diversifiant considérablement l’expérience, force est d’admettre que id Software maitrise son sujet. S’il y a quelques couacs graphiques, sonores mais aussi de petits cailloux dans la chaussure du gameplay, tout ce qu’entreprend le jeu dans sa progression, ses niveaux un peu plus ouverts ou encore dans le feeling global les améliorations du Slayer, est une franche réussite. Tout est plus brutal dans le gameplay, plus terre à terre, nerveux et diversifié, et cela fait que DOOM: The Dark Ages arrive à conserver l’esprit des deux précédents volets, pour en faire une fusion parfaite qui ravira les fans de la franchise.

Ce test a été réalisé à partir d'une version éditeur.

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